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24 mai 2010, par Claude Grandjacques
Il y a cinq ans, en juin 2005, Cherif, en humaniste convaincu, avait ouvert les colonnes de Echos de Bouzeguène au Président du Comité de la Zaouia de Sidi Amar Oulhadj de Bouzeguène et à un chrétien de confession protestante. Voir Extrait N° 4 de Echos de Bouzeguène Le journal local était ainsi "le témoin d’un fait social", le pluralisme religieux, et dans ses colonnes, un bouzeguenois, Salim, affirmait : " La foi, c’est ce qui lie l’homme à Dieu. Ce qui lie les hommes entre eux, c’est plutôt le (...)